MERCI, MERCI, MERCI pour la générosité des bienfaiteurs qui ont choyé plus de 100 enfants issus de familles démunies! Malgré un contexte de pandémie mondiale, vous êtes venus en aide à plus de 50 familles qui, habituellement, ne peuvent pas fêter Noël, n’ayant pas les moyens de s’offrir un simple repas de fête.
Des paniers contenant du riz, du sucre, des pâtes, du lait, des sardines en conserve, des sucreries, un gros poulet, des tomates en conserve, de l’huile, ainsi que des jouets pour les enfants (jouets appropriés à leur âge) ont été offerts aux familles des quartiers précaires d’Abobo et de Cocody. Comme la COVID-19 n’est pas vraiment pris au sérieux dans ces communautés, il était donc plus prudent, cette année, que le chef de chacune des 50 familles ciblées se déplace pour venir s’enquérir d’un panier bien garni.
Quelques chefs de famille ont même pris la peine de communiquer avec les responsables pour exprimer la joie qu’ont éprouvé leurs enfants en recevant leur jouet!
Fête de Noel à l’école Sainte Philomène
Cette école accueille environ 80 élèves. Mme Koffi Anastasie, impliquée dans le « Programme de lutte contre la malnutrition des enfants », a mis sur pied cette école pour permettre la scolarisation des enfants pauvres de son quartier. En Côte d’Ivoire, les études primaires sont, en théorie, obligatoires et gratuites mais, en pratique, les frais de transport et d’alimentation privent souvent les parents d’offrir une éducation à leurs enfants. Pour renverser cette situation, Mme Koffi ne demande aux parents qu’une somme symbolique à la rentrée scolaire et assume, personnellement et avec l’aide de bonnes gens, les autres frais pour ces élèves.
Visite aux familles des élèves de l’école de Sainte Philomène qui n’ont pu venir à la fête
Une fois la fête achevée, les étudiantes-monitrices de Marahoué, accompagnées de Madame Koffi (qui connaît parfaitement où habite chaque famille), sont parties à pied avec des sacs à dos remplis de biscuits, bonbons et jouets et ont remis les surprises tant attendues aux enfants qui n’avaient pu assister à la fête.